Votre Kinésithérapeute
à Chapelle-lez-Herlaimont
Jordan Paquot est un kinésithérapeute professionnel exerçant en Belgique.
Dans son rôle de kinésithérapeute à Chapelle-lez-Herlaimont , Jordan Paquot a comme principe de base le « soin par les mouvements ». Convaincu du fait qu’un corps qui bouge est un corps en bonne santé, il a donc pour mission d’aider l’enfant à acquérir des capacités motrices, lui permettant de se sentir bien dans sa peau. Professionnel et polyvalent, il s’adapte au cas de chaque patient, et dispense les séances selon les besoins de celui-ci. Les mouvements de rééducation sont présentés sous un aspect ludique, et le kinésithérapeute veille à ce que la séance plaise au jeune patient. De cette manière, l’enfant prend plaisir à s’impliquer, sa motivation reste au plus haut niveau jusqu’à la fin de sa thérapie. C’est une technique qui ne peut que optimiser l’efficacité du traitement, et accélérer naturellement la guérison.
Les cas les plus fréquemment traités dans le cadre de la kinésithérapie pédiatrique sont les affections orthopédiques. Les services de Jordan Paquot sont en effet très sollicités par les parents, car les enfants sont toujours sujets aux accidents dans leurs activités quotidiennes (chutes, faux mouvements…). Avec des os et des articulations fragiles, ces derniers risquent au quotidien une fracture (brisure d’un os), une luxation (déboîtement de l’articulation) ou une entorse. C’est pourquoi ils ont recours à la kinésithérapie ; c’est la seule alternative non agressive, mais efficace, qui peut garantir leur guérison. Le thérapeute soigne la pathologie en elle-même, et s’assure de la rééducation du membre lésé, de manière à ce que l’enfant puisse récupérer rapidement toutes ses aptitudes.
Il est question de retard de développement moteur lorsque l’enfant a des incapacités à acquérir les activités motrices normalement prévues à son âge. Il est vrai que chaque être se développe à son rythme propre, mais il y a quand même des facteurs de repère qui permettent de confirmer qu’il présente un retard sur sa motricité. Ce phénomène peut provenir d’une maladie métabolique ou d’une prédisposition familiale, tout comme il peut être dû à la prématurité, à l’hérédité, à des syndromes autistiques et chromosomiques, ou à de mauvaises conditions périnatales et prénatales.
Les retards de développement peuvent varier d’un enfant à un autre, mais la plupart du temps, Jordan Paquot , votre kinésithérapeute pour nourrisson intervient si le bébé ou l’enfant :
La liste est évidemment non exhaustive, mais dans tous les cas, le traitement se base sur la rééducation, par l’usage de frictions, de mouvements, et d’outils d’exercice (barre, élastique, balle, semelles spéciales…).
A chaque séance, le kinésithérapeute apporte des précisions sur le déroulement des exercices et des positions à adopter. Il s’occupe ensuite de l’enfant, en l’accompagnant dans ses activités, tout en dispensant des conseils pour la bonne pratique de ses mouvements. Enfin, il intervient physiquement pour les travaux d’étirement, de stimulation faciale, de mobilisation crânienne, et pour toute autre technique que le petit patient ne parvient pas à effectuer seul.
Les affections neurologiques et neuromusculaires ne se limitent pas aux torticolis et lésions musculatures classiques. Il s’agit d’atteintes sérieuses au niveau de la structure physiologique composée des nerfs, des muscles, et des neurones moteurs. Souvent d’origine génétique, ces troubles peuvent induire des crampes musculaires persistantes, des fourmillements interminables, et des troubles de l’équilibre. La personne touchée par ces dysfonctionnements risque également de voir double en permanence, de baisser involontairement ses paupières, et d’avoir des difficultés à marcher, à ingérer, à respirer, ou à articuler.
La prise en charge des troubles neurologiques et neuromusculaires dépend ainsi de l’origine du dysfonctionnement. Il s’agit évidemment de séances de rééducation et de réadaptation, mais ce sont les exercices à faire, et les mouvements à effectuer qui varient selon les conditions physiques et les aptitudes de l’enfant. La base est de proscrire toute activité trop intensive pour le patient, notamment l’usage d’appareils de musculation et de la mécanothérapie.